Réunion synode sur « autorité et participation »

Réunion synode du 8 février 2022

Participants : Monique de Bellefond, Marie Cécile et Philippe Brodier, Philippe Borrini, Yannick Lemaître, Jean Cuisenier, Hubert de La Taille, Marielle Allut. Americo Miguens.
Introduction
Il s'agit de la troisième réunion au sein de la paroisse St .Augustin, sur le thème «Autorité et participation », choisi au départ parmi dix pôles de réflexion proposés par le synode.
Les contributions des groupes locaux devaient être transmises pour le 15 février à l’évêché. Cette date a été reculée en mars.
Les deux premières réunions, les 2 décembre et 11 janvier ont donné lieu à des comptes-rendus transmis aux participants.
Elles ont mis l'accent sur les formes spécifiques d'ouverture au monde non croyant, ou non pratiquant dans notre région rurale où les visiteurs sont nombreux. Même au sein de la population
locale, les occasions sont nombreuses de porter une parole spécifiquement chrétienne.
Nous avons beaucoup examiné les formes possibles de participation des chrétiens. Est il possible de les mettre en relation avec la manière dont s'exerce l'autorité dans l’Église.
Discussion
Au delà des formes institutionnelles de l'Eglise, qui sont mises en question par les agissements dénoncés par la CIASE et dans d'autres pays, le synode invite à réfléchir sur la manière de « faire
Eglise» là où nous nous trouvons. Les prêtres sont peu nombreux. Ils ne peuvent pas tout faire et ils sont appelés à devenir moins nombreux dans un avenir proche. Cela ne doit pas altérer le
dynamisme des communautés chrétiennes. Celles ci peuvent s'inscrire dans les paroisses, sans être nécessairement identifiées comme initiatives paroissiales. Cela dépend de petits groupes qui se
réunissent et qui partagent l’Évangile.
C'est d'autant plus important en milieu rural, où les gens sont dispersés et ont besoin de se rencontrer pour se conforter dans leur existence et leur foi.
De tels petits groupes existent déjà, comme les communautés franciscaines, ou le groupe d'étude biblique animé par le frère Pierre Yves de Taizé.
Bien entendu ces initiatives ne doivent pas devenir des chapelles coupées de la célébration commune. Ce sont des lieux d’Église. Là où il y a des chrétiens rassemblés il y a Église.
Les préparations de messe chaque semaine devraient être une occasion de partage, mais peu de gens y participent, ce qui est dommage, car c'est une occasion de partage de la Parole et d'échange sur la manière de la mettre en valeur.
La seule lecture lente des textes devrait permettre de les méditer et de se les approprier en les entendant.
Il est difficile de faire Église, lorsque le seul rassemblement est la liturgie dominicale, où le caractère rituel et universel ne laisse pas beaucoup d'espace à l'expression propre d'une
communauté, avec son caractère spécifique et ne permet pas l'expression de chacun.
Il faudrait du moins promouvoir des gestes forts au sein de ces célébrations, reliés aux temps liturgiques. Cela a été l'occasion au cours de l'Avent, où les prières universelles ont été matérialisées
par un arbre où elles étaient suspendu leur support écrit.
L'Offertoire est aussi un moment où l'on peut présenter des intentions particulières de l’Église locale.
Le dimanche de la Santé est un moment proposé, où peuvent aussi s'exprimer les préoccupations de gens que nous connaissons,malades, soignants, visiteurs, aidants qui peuvent s'exprimer à l'occasion de notre célébration. Ce sont les souffrances des malades et de ceux qui les assistent que l'on va de notre célébration. Ce sont les souffrances des malades et de ceux qui les assistent que l'on va porter sur l'autel sous forme d'offrande reliée à la vie donnée par le Christ.
Le sacrement des malades peut être donné au cours d'une messe.
Le Jeudi saint met en scène le partage de l'Eucharistie. C'est un geste fort, que l'on aimerait renouveler. Mais il n'est sans doute fort que dans le cadre d'un calendrier liturgique qui culmine avec la Semaine Sainte et Pâques.
Les sens doivent être sollicités dans l'appréhension du mystère. L'encens y contribuait, mais de manière très ritualisée, avec une composante hiérarchique marquée...
L'expérience de partage d’Évangile lors du dimanche de la Parole n'a pas été vraiment concluante, étant donné les réticences des gens à s'exprimer. C'est en petit groupe que cette prise de parole se fait le mieux. On peut se demander si ce n'est pas cela qui prime, plutôt que toute la démarche synodale !!
La place du prêtre et des ministères dans l’Église est aussi abordée.
Le prêtre ne doit pas être seulement un célébrant et un prêcheur. Il serait bon qu'il soit présent à la sortie de la messe pour rencontrer les paroissiens.
Les participations plus ou moins spontanées de paroissiens dans l'animation des célébrations (musique, chant, distribution de la communion...) pourraient être plus ou moins officialisées par un geste ou une parole.
Un autre axe de discussion a été la possibilité pour l’Église d'adopter un langage qui soit audible par nos contemporains. Ce ne sont pas seulement les structures ecclésiales qui reflètent des rigidités remontant à plusieurs siècles, ce sont aussi les modes d'expression, qui ne sont plus comprises, qui ne font plus sens et qu'il faudrait re-ancrer dans l’Évangile.
Nous avons du mal à concevoir une Église où les prêtres soient forcément célibataires, où les femmes n'aient pas leur place, où l'Incarnation soit en rupture avec la famille traditionnelle, où l'infaillibilité pontificale surplombe les débats dans l’Église.
Nous sommes aux prises avec une opinion publique qui a changé son regard sur l’Église avec les scandales de pédocriminalité et l'occultation des responsabilités.
Faut-il faire place nette pour reconstruire l’Église sur d'autres base et offrir une image davantage en phase avec les préoccupations des gens, des jeunes en particulier ?
Peut-être faut-il garder présentes les questions qu'on se pose. Les changements nécessaires supposent des transitions pour ménager des sensibilités différentes.
Conclusion
Une dernière réunion dans le cadre du synode a été prévue le mardi 1° mars à 18h.
Il s'agira de réaliser une synthèse des discussions, permettant une remise à l'échelon diocésain.permettant une remise à l'échelon diocésain.
Prévoir les axes forts à retenir et transmettre.

Réunion synode du 11 janvier 2022

Participants : Yannick Lemaitre, Dominique Olislaegher, René Aucourt, Americo Miguens, Marie Cécile et Philippe Brodier, Hubert de La Taille, Geneviève Puech.

Hubert indique le contexte de cette deuxième réunion paroissiale sur le synode en cours.
Cf 1*réunion le 2 décembre 2021 : Martine, coordinatrice des 3 paroisses, a fait suivre le compte rendu par mail à tous les paroissiens inscrits sur le listing , pole 8 idem.
Au cours des 20 dernières années la paroisse St Augustin a expérimenté des formes différentes d'autorité et de participation. Plus généralement il a été observé que le fonctionnement des paroisses dépend beaucoup du rôle plus ou moins volontaire qu'exercent les prêtres qui en sont en charge.

Toutefois la volonté de participation des paroissiens doit être réinterrogée en parallèle : nous assistons réellement à un vieillissement des paroissiens dans nos campagnes, sauf lors des vacances et fêtes ou les enfants et/ou résidents secondaires sont présents aux offices…pas de représentant sur Bray depuis plusieurs mois, et recherche d’une personne sur Cormatin pour prendre le relais.

La nouvelle organisation, sous l'autorité d’un curé responsable de trois paroisses et animant une équipe de prêtres résidents comme lui à Cluny, avec une succession de célébrants le dimanche, ne représente-t-il pas un défi supplémentaire, mettant à l'épreuve cette participation laïque souvent revendiquée ? proposition : s’engager à définir chaque année les axes forts de l’animation pastorale, fixer les objectifs de l’année.
L’idée serait que les chrétiens laïcs jouent un rôle central, le prêtre apporte sa contribution, mais sans modifier à chaque changement de curé le fonctionnement de la paroisse : l’EAP équipe d’animation pastorale est faite pour cela, avec des représentants de chaque clocher.

Une autre particularité de la paroisse Saint Augustin est la présence de la communauté de Taizé sur son territoire. Les jeunes vont plus volontiers à Taizé qu'à la paroisse ; comment faire des passerelles entre les deux ? Dans les faits certains paroissiens habitant proches de Taizé participent aux offices des deux côtés, et sont engagés dans la vie de la paroisse ; et plusieurs familles venant à Taizé participent au KTtous sur la paroisse ;

Propositions d'animation pastorale de façon ponctuelle avec une équipe pour la mettre en œuvre, qui n'est pas forcément constituée que par des pratiquants habituels. Permet de Communiquer avec les locaux qui ont laissé tomber les pratiques religieuses habituelles ; : ex : Cortambert-Blanot-Donzy pour la rénovation de la Vierge de la Roche, avec procession et chants variés le soir du 15 aout.
ex : »l’évangile qui traverse la rue » partage de la parole avec un petit guide ; maison d’évangile en val de marne ;
Ici, l’homélie du curé le dimanche peut être lue sur le site paroissial ;

Un des axes, déjà évoqué en EAP, est la pastorale du tourisme, particulièrement à Cormatin où il y a beaucoup de visiteurs au château, et où les gens entrent pour voir l'église : il serait souhaitable de monter une équipe de permanents pour cet accueil
Pour cela, peut-être faire appel à des artistes, nombreux sur le territoire de la paroisse. Ils peuvent contribuer à faire découvrir le riche patrimoine de nos églises, tout en éclairant sa signification religieuse. Ex : la crèche de Noël à Cormatin est faite depuis quelques années par 3 artistes locaux ; un chemin de croix a été exposé par M Balleuriaud dans l’église de Chazelles, et pendant 1 mois dans l’église de Cormatin en 2021.
 Proposition :  Nous allons mettre un descriptif à consulter sur place, dans chaque église Romane référencée par la pastorale du tourisme à lire sur place, grand format sous plastique( Martine Loctin)

Nécessité d’une équipe pour la préparation du bulletin paroissial ; d’une équipe de préparation au mariage dont 1 membre se rend au mariage…même si la préparation au baptême et au mariage est groupée pour les 3 paroisses, sur Cluny.

Un autre axe est le partage de la Parole sous des formes nouvelles, à faire plus souvent lors des célébrations du dimanche, comme cela s’est fait lors d’une rentrée de septembre ; proposition de René Aucourt : le faire le » dimanche de la parole »23/01/2022, à la place ou avant le sermon, qui reprendrait un résumé de la parole échangée dans chaque groupe ?
Envisager de le mettre en place en dehors du cadre paroissial, susceptible d'intéresser des participants plus jeunes ?

Les Obsèques , toujours locales, permettent de rencontrer des gens que l'on ne voit pas le reste du temps à l'église, et c’est l’occasion de leur montrer ce qu’est l’église actuelle, accueillir des gens du territoire ou des familles plus éloignées : c’est un moment fort d’évangélisation, de pastorale ; idem pour mariages et baptêmes.
Nb : Les gens réclament spontanément la présence d'un prêtre pour les obsèques, mais ils s'habituent bien à la présence de laïcs pour animer ces célébrations (4 personnes formées sur la paroisse).

Le regroupement des prêtres à Cluny et la multiplication des réunions auxquelles le curé doit participer complique sa vie, mais Mgr Rivière a insisté pour que les trois paroisses soient maintenues pour conforter la vie locale. Les gens vont facilement à Cluny pour différents services, mais le regroupement à Cluny des paroisses impliquerait sans doute moins d’engagement de la part des paroissiens plus éloignés. A cet égard, il semble bon de maintenir l'organisation actuelle ; sur la durée cela dépendra beaucoup de l’arrivée de nouveaux prêtres …

Une autre question posée est l'engagement du prêtre sur la paroisse. S’il y a moins de prêtres cela suppose que les laïcs, hommes et femmes, s'engagent. Actuellement, trois ministères sont déjà susceptibles d’être confiés aux laïcs femmes et hommes : Catéchèse, liturgie de la Parole, et service de la liturgie= Acolyte.
Ex :Dans certains pays(Amérique du sud par ex) le prêtre n’est plus aussi central dans l’activité d'une paroisse, tenue par des « catéchistes » : Il vient souvent 2 fois/an. L’Église ce n'est pas « une affaire de curé ». Les tâches doivent se répartir et s'articuler : apprendre à « marcher ensemble »…même si cela nous semble compliqué face au vieillissement de la population de prêtres et laïcs dans notre paroisse !!

1ère Réunion synode du 2 décembre 2021

Participants : René Aucourt, Christian et Béatrice Charlet, Hubert de La Taille, Jean Dorin, Yannick Lemaitre, Martine Loctin, Geneviève Puech Flach.

Introduction par Christian Charlet, complété par Geneviève et René

Le pape François engage l'Eglise dans une démarche synodale : apprendre à marcher ensemble, clercs et laïcs sous la conduite de l'Esprit. Elle invite à un partage en confiance et une écoute réciproque, d'abord par petits groupes locaux ; C'est une démarche interne à l'Eglise, qui invite tous les baptisés à s'exprimer, puis au niveau diocésain et romain :

  1. Nous souvenir avec gratitude : nous nous rappelons ceux qui nous ont précédés et nous ont montré le message du Christ
  2. Lever les yeux en confiance pour regarder les champs à moissonner, partager, réfléchir et discerner ensemble et dans nos divers engagements dans la société
  3. Etre des constructeurs, messagers dans l’église locale, encourager les initiatives dans les communautés très variées, chrétiennes ou non, « prendre la parole »

Dix pôles thématiques sont proposés à la discussion. Le partage entre clercs et laïcs, localement, avec mise en œuvre d’une meilleure coopération, est plus important que les documents qui en résulteront.
Ce synode coïncide dans le temps avec la remise aux évêques de France du rapport Sauvé (recommandations établies par des laïcs principalement)

Le synode au plan diocésain

Les différents groupes locaux qui participent au Synode remettront une synthèse d'ici l’été 2022 au diocèse d’Autun. Les contributions de chaque diocèse sont transmises à la Conférence des évêques de France. Ces synthèses doivent privilégier les points forts apparus dans les groupes et les expériences vécues. Ce sont des idées de réforme ou d'aménagement que les évêques transmettront au Pape. Un groupe diocésain s'attachera à dégager ces points forts, selon les questionnements récurrents dans les groupes.

Le synode au plan local

Nous avons commencé à réunir ce jour un 1° groupe de personnes en lien avec l'Eglise, ouvert à toute personne intéressée.
La création des groupes continuera d’être annoncée, par les canaux habituels (feuille de messe, annonces, site Internet...), et en invitant ses connaissances.

L’équipe d’animation pastorale (EAP) de notre paroisse St Augustin a choisi de réfléchir tout d’abord sur le Pôle Vlll « Autorité et participation », en développant dans un premier temps « Nous souvenir avec gratitude ».

Christian Charlet relate l’arrivée dans la paroisse du père Fernez en 1997, qui s'occupait de la paroisse et veillait à tout : son décès brutal avait fait souffler un vent de panique dans les villages. Puis conseillés par le père Desgoutte (avant -gardiste ?), les paroissiens se sont organisés et avaient moins besoin d'un curé pour les affaires courantes. Il avait mis en place des échanges le dimanche matin avant la messe sur les textes du jour…à reprendre ?

 Avec le père Lefort, souvent absent, ils avaient constitué une équipe d'animation pastorale, composée de membres élus par bulletin lors d’assemblées dominicales : répartition des charges entre laïcs, formation d’une équipe funérailles …Cette dynamique s'est poursuivie avec le père Cottin. Puis nous sommes entrés dans une gestion plus classique de la paroisse avec le père Cuisenier, qui laissait moins d'initiatives aux paroissiens.
Cependant les crèches de Noël sont faites par les paroissiens (Cormatin, Ameugny), la catéchèse reçoit de l’aide d’une sœur de St André, des expositions ont été réalisées à l’église de Cormatin et de Chazelles, mais les marandes, 1 fois/mois ont été interrompues par l’arrivée du covid

Rappel : Réglementairement, selon la loi française, et canoniquement, le curé est responsable de tout « du papier toilette au Saint-Sacrement » ! En pratique les curés endossent plus ou moins ce rôle, selon les circonstances et leur personnalité. Certains délèguent volontiers.

Encore faut-il qu'il y ait du répondant parmi les paroissiens, eux aussi parfois enclins à s'en remettre au point de vue du prêtre. La liberté de parole est récente : les laïcs auraient ils gardé l’habitude d’être des « enfants » de Dieu, entre les mains du Père -curé, et de la Mère- église. ?? les laïcs ont leur domaine de compétence dans la paroisse, sans enlever au prêtre sa compétence propre.
Est-ce un problème de participation des paroissiens ou d'autorité ? Comment nous mobiliser ? D'abord en se réunissant autour d'une table régulièrement pour échanger, ensuite en faisant appel à certains pour des fonctions précises, en discernant ensemble : nécessité pour les laïcs de prendre la parole, de s’éduquer à une réflexion personnelle, nécessité pour les clercs d’écouter et d'entendre.

Questionnements ce soir : Nécessité de redéfinir l’autorité du curé et de l’assistante paroissiale, avec formation des prêtres et des laïcs ?
Qu’est-ce que les laïcs attendent du prêtre ? quelles responsabilités sont ouvertes aux laïcs dans l’église actuelle ?
A Cormatin, il y a beaucoup de visiteurs en été et lors des fêtes : comment les accueillir ? comment retrouver la possibilité de mettre un cierge en prière (problème du tronc à récupérer plusieurs fois par semaine)

Améliorer le site internet de la Paroisse, le bulletin ?
Et…que connaissons nous du fonctionnement du diocèse et de l'engagement quotidien de l'évêque ?

« Pour une Église synodale : communion, participation et mission »

Le pape François a annoncé en mai dernier la tenue d’un nouveau Synode des évêques* en 2023. Ce synode porte donc sur la synodalité. Un mot peu utilisé qui signifie « marcher ensemble ». Il se déroulera en trois phases : diocésaine, continentale et universelle.

 Le pape François a inauguré ce nouveau synode au Vatican, les 9 et 10 octobre derniers. Une phase diocésaine a débuté le 17 octobre à Autun, elle nous a embarqué avec enthousiasme dans cette démarche. Nous sommes donc particulièrement intéressés localement par la phase diocésaine. Débutant en octobre 2021, elle se poursuit jusqu’au 15 mars 2022. L’objectif de cette phase est la consultation du peuple de Dieu. L’Église se met à l’écoute de toutes les personnes baptisées !

 A nous de jouer ! Dans les prochaines semaines l’EAP (Equipe d’Animation Pastorale) vous dira comment faire.

 En attendant, si vous êtes intéressés vous pouvez prendre connaissance du document préparatoire sur la page :

 https://www.vaticannews.va/fr/vatican/news/2021-09/texte-lu-en-francais.html

 *Qu’est-ce qu’un synode des évêques ?

 Les synodes des évêques ont débuté à la suite du concile Vatican II (1962-1965). Le synode a une fonction consultative, une sorte de « mini concile » qui est là pour manifester la collaboration entre évêques et approfondir certains sujets. Depuis leurs débuts, les synodes ont abordé plusieurs sujets d’importance pour l’Église (la famille, l’Amazonie …).

Jeudi 2 décembre de 18h00 à 19h30 à la Maison Paroissiale d’Ameugny (16 route de Cortevaix) Autour du thème

VIII. AUTORITÉ ET PARTICIPATION

 Une Église synodale est une Église de la participation et de la coresponsabilité. Comment sont définis les objectifs à poursuivre, la voie pour y parvenir et les pas à accomplir ? Comment est exercée l’autorité au sein de notre Église particulière ? Quelles sont les pratiques de travail en équipe et de coresponsabilité ? Comment sont encouragés les ministères laïcs et la prise de responsabilité de la part des fidèles ? Comment fonctionnent les organismes de synodalité au niveau de l’Église particulière ? Constituent-ils une expérience féconde ?